ACTIONS CONTRE l'intimidation/harcèlement covid19 à l'école / ACTIE tegen het covidpesten op de scholen! 23/09/2020

lisez l'information sur notre action envers Sophie Wilmes, ensuite copiez/collez le LAISSER PASSER, imprimez le, pliez la feuille A4 en deux et plastifiez là!

Bruxelles se Réveille / Brussel Wordt Wakker
Association de fait dans la Région Bruxelloise
Feitelijke vereniging in het Brussels Hoofdstedelijk Gewest

statuten : samenvatting: de vereniging heeft tot doel de Code van Nurenberg te handhaven voor alle leden. Daartoe beschermt de vereniging al haar leden.



Statuts 
  • §1. L’association Bruxelles se Réveille, par la suite nommée ‘BSR’ est une association de fait, conformes aux droits civils et associatifs,  et autres conventions applicables dans la Région Bruxelloise du Royaume de Belgique.

    §2. BSR a été fondé le 29.02.2020 à Bruxelles par ses administrateurs.Une liste interactive des membres effectifs est tenue à jour sur un serveur autorisé. Pour des raisons de sécurité et de protection de la vie privée, seuls les administrateurs ont accès à ce serveur.

  • §3. L’adresse du siège social de l’association est sécurisée et protégée sur le serveur mentionné dans le paragraphe précédent et peut être obtenue par demande officielle par le biais du courriel officiel bxlsereveille@gmail.com.

  • §4. L’association peut être dissoute à tout moment par simple décision de ses administrateurs par le biais d’un courriel envoyé à tous ses membres effectifs.

  • §5. Chaque nouveau membre effectif doit être parrainé par au moins deux autres membres effectifs.

  • L’association BSR a comme seul et unique objectif  sauvegarder l’application du Code De Nuremberg et toutes les conventions des droits humains internationaux pour garantir la protection et la défense des droits humains, la santé, le bien être et l’intégrité physique de ses membres effectifs.  A ce titre là les membres effectifs cèdent les droits susmentionnés à l’association pour en garantir le bon fonctionnement. Cette cession de droits peut être révoquée à tout moment par les membres individuels.

  • Afin de pouvoir atteindre son objectif BSR peut entreprendre toutes actions juridiques et civiques nécessaires au nom de ses membres. Toute répercussion de ses actions ne regardera que l’association, et non les membres individuels.
NOS STATUTS image
  • Bruxelles, Belgium
  • BP XXXX

           LAISSER PASSER  

 

Suite à l’initiative citoyenne effectuée le 12 août 2020 par l’association Bruxelles Se Réveille (BSR) à l’égard du précédent Premier Ministre du gouvernement fédéral, Madame Sophie Wilmès…


Suite à la continuation des mesures fédérales contre un virus en outre non défini par l’OMS (l’A.R. du 18/10/2020 parle d’un ‘Coronavirus Covid19’ non existant au lieu du virus ‘SARSCORONA2’) par le biais de l’A.R. du 18/10/2020, et successivement par l’A.R. du 28/10/2020…


en tant que membre de l’organisation précitée qui protège tous mes droits et l’intégrité physique de ma personne, je suis le seul responsable pour décider de porter un masque facial ou non (en dérogation des mesures mentionnées ci-haut)

 
Tout acte ou démarche civile ou pénale entreprises par les forces de l’ordre ou par un fonctionnaire sur le territoire bruxellois ou belge visant à empêcher mon droit découlant du paragraphe précédent, devient un acte susceptible de poursuite judiciaire, suite à l’infraction de la décision ministérielle mentionnée ci-haute, du Code de Nuremberg (1947), de la Constitution belge, des conventions internationales des droits de l’homme et du citoyen en de la loi fédérale de 2002 relative aux droits des patients. En outre une poursuite en justice nécessiterait la présence de madame Sophie Wilmàs ET du premier ministre actuel, monsieur Alexander De Croo en témoins.

Comme membre protégé par mon organisation, toute décision et négociation doit être initiée avec elle : bxlsereveille@gmail.com


voir le site web :https://5f218ec70aef4.site123.me/

Pour l’association ‘Bruxelles se Réveille’,
Giovanni Falcone, gestionnaire.


*** informations importantes au verso ***

 

 


       Numéros de téléphones        

 

 

  •    Le cabinet du premier ministre, Monsieur Alexander De Croo

 

                                     02/501 02 11

 

  • Le centre pour la protection de la vie privée et des données personnels

 

                                    02/270 48 00

 

  • L’Ordre National des Médecins (Code de Nuremberg, loi de 2002)

 

                                    02/743 04 00

 

  • Le Comité P

 

                                    02/286 28 11

 

  • L’inspection sociale des polices fédérales et locales

 

                                   02/676 46 11







PHILOSOPHIE WILMES! image
Le 22 juillet 2020 nous avons déposé une lettre au cabinet du premier ministre du gouvernement fédéral (voir ci dessous). Le piège était placéé puisque la formulation était telel que chaque répons eétait une victoire! Finalement Wilmes a répondu deux fois. A côté de la plaque!
Juridiquement cela signifie: elle n'a pas répondu!

En conséqunce, la responsabilité revient au citoyen.... Nous avons donc publié notre laisser faire qui est parfaitement légal puisque le premier ministre nous a rendu la responsabilité quant au port du masque...

A eux de prouver que nous avons tort, pas à nous de prouve que nous avons raison! Ils ont inventé le jeu lardé de diabologique ("l'art ed rendre les gesn fous") ? D'accord nous sommes des meilleurs joueurs

Partagez et diffusez.

MAis d'abord envoyez nous un courriel pour demander de devenir membre! dès noter confirmation vous êtes couvert! et aidez nosu à trouver des nouveau moyens d'actions inédites et imprévues :)

bien à vous

LETTRE:

A l’attention de Madame Sophie Wilmès, 
Première Ministre du Gouvernement Fédéral Belge provisoire,
Chère Madame Wilmès,
Le 10 juillet 2020,le gouvernement fédéral, par le biais du Conseil de Sécurité,  a décidé par un A.M., par ailleurs inconstitutionnel, publié dans le MB du 10 juillet 2020, d’obliger le port de masque dans toutes les surfaces commerciales et publiques, tout en maintenant cette obligation dans les transports en commun, (à partir du 4 mai 2020), pour tous les citoyens sur le territoire belge,  âgés de 12 ans et plus.
 
Cette obligation a été prise dans le cadre du déconfinement au sujet de la maladie COVID19. Mise à part la contradiction évidente entre ‘déconfinement’ et ‘mesures supplémentaires il est important de souligner le fait suivant : comme cette maladie, provoquée par le nouveau virus dit ‘SARS-CORONA2’ , est tout à fait nouvelle, selon l’O.M.S. et tout le monde médical, il en découle que toute mesure de dépistage, de prévention en de traitement devient ipse facto une mesure sanitaire expérimentale et par conséquent assujettie au Code de Nuremberg de 1947, en particulier (mais sans exclusivité) l’article 1 :
« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée. Ce dernier point demande que, avant d’accepter une décision positive par le sujet d’expérience, il lui soit fait connaître : la nature, la durée, et le but de l’expérience ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience. L’obligation et la responsabilité d’apprécier la qualité du consentement incombent à chaque personne qui prend l’initiative de l’expérience, dirige ou travaille à l’expérience. Il s’agit d’une obligation et d’une responsabilité personnelles qui ne peuvent pas être déléguées impunément ».

Il est clair et indéniable que la décision du port « d’un masque obligatoire » comme cité plus haut n’a pas été accompagnée par les critères obligatoires dans le Code de Nuremberg.

En même temps, chaque citoyen doit donner son consentement explicite pour appliquer cette expérience ; ce qui n’a pas été expliqué aux citoyens, une fois de plus contrairement aux obligations du Code.

En outre, chaque citoyen a donc le droit de refuser une telle expérience, d’autant plus que les opinions sur les effets iatrogènes du port d’un masque ne sont pas unanimes ni cohérentes  dans le monde médical.  Plus précisément dans la littérature scientifique il n’existe pratiquement aucune étude consacrée au port du masque (thème non populaire), mais la plus important entre elles, un doctorat défendu à Münich, en Allemagne en 2005 conclut que le port de masque a toujours des effets iatrogènes, même pour les personnes habituées (chirurgiens) :
BUTZ U., Rückatmung von Kohlendioxid bei Verwendung von Operationsmasken als hygienischer Mundschutz an medizinischem Fachpersonal (Rebreathing of carbon dioxide of surgical staff using hygienic masks ), PhD, Technischen Universität München, 2005.


Plus récemment deux experts en la matière ont expliqué plusieurs fois les effets iatrogènes (physiques et mentales) du port des masques :
  • Dr. Marco Stegagno  chirurgien spécialiste en Premier Secours et Professeur au « College of Naturopathic Medicin of London »
  • Prof. C. Montanari, Modena, expert en fabrication de masques pour militaires.
Des centaines d’autres sources scientifiques existent mais non jamais été étudié par le GEES qui agit donc d’une manière frauduleuse en piétinant toutes les règles de la méthodologie scientifique.
IL EXISTE DONC UN DOUTE REEL QUANT AUX EFFETS IATROGENES, ce qui implique le droit de tout citoyen à refuser le port d’un masque.  En effet, en cas de doute, le principe d’habeas corpus, garanti par les conventions sur les droits humains ainsi que par la liberté individuelle constitutionnelle (art. 12 de la Constitution belge) s’applique. Nous y ajoutons que la Constitution belge est toujours en vigueur, en vertu de son article 187 : « La Constitution ne peut être suspendue en tout ni en partie.’ » (donc ni par le Conseil de Sécurité, ni par un confinement,…).
Entre parenthèses, si on raisonne ex absurdo, en imaginant que le COVID19 ne soit pas une maladie inconnue et que les mesures sanitaires ne sont pas d’ordre expérimental, la situation deviendrait encore plus nette ; ceci  en vertu de la loi du 22 août 2002 relative aux droits du patient qui couronne le droit à l’autodétermination de chacun d’entre nous à disposer librement de son corps et, par voie de conséquence, de sa santé.  Ce droit est consacré par l’article 8 de la loi qui prévoit que le patient a le droit de consentir librement à toute intervention moyennant information préalable. De plus,  l’article 8 § 4 précise que le patient a également le droit de refuser ou de retirer son consentement.

En conclusion,
Comme la décision unilatérale du port de masque est en contradiction avec les droits humains, la Constitution belge, le Code de Nuremberg et, au besoin avec la loi du 22 aout 2002 relative aux droits du patient,


le gouvernement fédéral devient le seul responsable pour tous les effets secondaires négatifs, de lésions, d’effets iatrogènes, d’asphyxie ou toutes autres conséquences nuisant àl’intégrité, la santé ou le bien être de chaque citoyen, dûs au port du masque.
Par conséquent nous vous demandons de confirmer votre responsabilité, par courriel avec accusé de réception,  endéans les 7 jours après réception de ce document, en signant l’annexe. A défaut de cette signature il est clair que chaque membre des organisations qui vous présentent cette initiative citoyenne aura le droit de refuser le port de masque, sans aucune conséquence juridique.  Nous justifions cette courte portée de délai par l'urgence et du droit légitime à la préservation de la santé de nos membres et de la volonté légitime d'éviter l'aggravation de tout préjudice.
Nous attirons votre attention sur le fait que ce courrier est une initiative citoyenne, organisée par des associations qui ont intégrés la protection de la santé et du bien-être de leurs membres dans leurs statuts respectifs et dont la portée ne vaut que pour ses membres.



Inversement, si vous ne vous en portez pas garante, il est également clair que la responsabilité retombera sur le citoyen individuel, qui, une fois de plus, pourra refuser le port du masque sans conséquences juridiques.

Nous nous réservons également le droit d’envoyer une copie adaptée aux responsables des commerces en Belgique, des transports en commun belges ET aux communes bruxelloises ayant imposé le port de masques dans les commerces de leur territoire, afin de leur demander d’assumer à leur tour leurs responsabilités.

Très Sincèrement,


Faites à Bruxelles, 22 juillet 2020



Pour ses membres, protégés par les statuts des dites organisations :
Fondation Stacy pour la Vie, association de fait
Stralingsarm België, association de fait, plateforme
Bruxelles se réveille, association de fait
Réponse à envoyer à : bxlsereveille@gmail.com

Le 23/09/2020 nous allons inonder les boites e-mail des responsables des Centres PMS, des inspections scolaires et du délégué des droits des enfants. Ou plutôt, vous les parents (et élèves) allaient faire cela !!! Vous pouvez signer vos courriels en votre nom et/ou ajoyuter ‘Bruxelles se révéille’ comme association qui vous protège…


Pourquoi ? Tout simplement parce que les mesures covid19 sont illicites et constituent une amalgame d’expériences sanitaires et psychologiques SANS notre accord. Que ces mesures absurdes ont été par après installées dans les écoles est d’autant plus inadmissible parce que là il s‘agit d’expériences avec NOS enfants. Après l’isolation des vieux et des vulnérables dans les homes en mars-avril 2020, voilà que les experts s’attaquent aux enfants…. Les vieux, les malades, les enfants, tout cela au nom du slogan « C’est pour votre bien »… Cela n’est pas nouveau : c’est exactement une copie conforme des évènements en 1933 qui ont abouti à la plus grande atrocité humaine jusqu’à aujourd’hui…  

En effet, protégé par le soi-disant CIRCULAIRE, les dirigeants des écoles ont établi un régime totalitaire, non démocratique et surtout iatrogène dans nos écoles. Quand nous es questionnons ils répondent « Les ordres sont les ordres », une fois de plus, une phrase que nous connaissons bien …


Dès lors, nous n’attendons plus ! Il faut agir maintenant. C’est pour cela que nous vous demandons le 23/09 , dès l’aube , d’envoyer des courriels aux Centres PMS, à l’inspection scolaire et au délégué des droits des enfants.


Dans ce courriel vous portez plainte contre votre école et contre les organisations officielles de votre école pour harcèlement physique et psychologique, pour manipulation mentale et pour la violation des principes du Code de Nuremberg (voir détails ci-dessous). Ce Code souvent oublié, nous protège contre toute expérimentation sur les humains et , au contraire des lois normales, ce n’est pas à nous de prouver que nous avons raisons, non, c’est aux autorités à prouver qu’ils ont tout fait pour obéir au CODE. Et cela, ce sera IMPOSSIBLE pour eux.


Voici les arguments que vous pouvez utiliser :



« https://www.erasme.ulb.ac.be/fr/enseignement-recherche/comite-d-ethique/consensus-ethiques/le-code-de-nuremberg-1947


Le « code de Nuremberg » établi une liste de dix critères contenue dans le jugement du procès des médecins de Nuremberg (décembre 1946 - août 1947) qui précisent les conditions auxquelles doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l'être humain pour être considérées comme « acceptables »


 En particulier l’article 1 est applicable pour les mesures covid19 dans les écoles ;

« 1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir: qu'elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu'elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l'expérience pratiquée sur elle, afin d'être capable de mesurer l'effet de sa décision.
Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.
L'obligation et la responsabilité d'apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l'initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s'attachent à cette personne, qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie. »


Pour les mesures covid19 dans les écoles:

  • Aucun citoyen n’a donné son consentement en général, nous autres, parents de nos enfants, nous n’avons jamais donné un consentement pour assujettir nos enfants à ces expériences ;
  • Aucune pression est légale (les amendes non plus) ; donc les exclusions scolaires, les discriminations, les isolations etc sont absolument illicites
  • Aucune information sur la durée de ces expériences a été expliquée.. les codes ‘verts’ sont des codes basées sur des impressions subjectives et donc non valides ;
  • Les effets iatrogènes du port de masque, de la distance asociale et de l’usage de gels chimiques ont été prouvés dans un tas de recherches scientifiques, or n’ont jamais été expliqué aux enfants, ni aux parents ;
  • Si les directions des écoles se basent sur un circulaire pour effectuer des ordres sans penser (sic) , alors c’est l’auteur de ce circulaire qui est le seul responsable des appréciations mentionnés dans le Code de Nuremberg. Dès lors chaque élève impliqué et ipse facto chaque parent a donc le droit de connaitre ce responsable pour lui demander des explications. »




 Vous pouvez trouver les courriels ci-dessous :

 

  • Délégué général aux droits de l'enfant de la Communauté française :


dgde@cfwb.be


  • Annuaire des centres PMS:


http://www.enseignement.be/index.php?page=26028&navi=149


  • Médiation scolaire :

Juliette VILET (Bruxelles, Namur, Liège, Luxembourg)
Coordinatrice pédagogique
juliette.vilet@cfwb.be
Tél: 02/690.88.66
Gsm: 0479/651.660
Fax: 02/690.85.81

Claudine BILOCQ (Bruxelles, Brabant Wallon, Hainaut)
Coordinatrice pédagogique
claudine.bilocq@cfwb.be
Tél. : 02/690.88.65.
Gsm : 0478/88.36.92

 

 



 

Op 23/09/2020 gaan we de email-boxen van de CLB’s, de onderwijsinspectie en het Kinderrechtencommissariaat verzuipen. Of beter gezegd, u ouders gaat dat doen, in persoonlijke naam en/of met vermelding van de organisatie ‘Brussel Wordt Wakker’ om u te beschermen.




Waarom deze actie ? Simpel : de covid19 maatregelen zijn niet alleen volstrekt illegaal ze steunen uitsluiten dop bluft, intimidatie en gehoorzaamheid) maar ze vormen ook een geheel van medische en psychologische experimenten op mensen ZONDER ONZE TOESTEMMING! Dat deze absurde maatregelen ook in de scholen verplicht werden, is des te erger omdat het over experimenten met ONZE kinderen gaat! Na de isolatie van ouderen en zogenaamde kwetsbare mensen in maart-april 2020, vallen de zogenaamde experts onze kinderen aan… Ouderen, zieken, kinderen, onder de slogan “Het is voor uw bestwil”.. Dit is niets nieuws.. het werd reeds in 1933 gebruikt en we kennen allemaal het resultaat van dergelijke gehoorzaamheid …


Beschermd door de zogenaamde ‘circulaires’ hebben de schooldirecties een totalitair regime opgelegd dat bovendien schadelijk is voor de gezondheid van onze kinderen. En wanneer wij daarover vragen stellen zeggen ze ‘Orders zijn orders’; een andere slogan die wij zo goed kennen….


Wij gaan dus niet langer wachter en NU ageren!  Wij vragen dan ook aan elke ouder om vanaf woensdag 23/09 (s’morgens beginnen!) e-mails te sturen naar de CLB’s, de onderwijsinspectie en de Kinderrechtencommissaris.


In deze emails legt u klachten neer tegen uw school en de inrichtende machten voor verregaande fysieke en psychologische pesterijen, voor mentale manipulatie en voor de overtreding van de principes van de Code van Nurenberg (zie verder). Deze vaak vergeten Code beschermt ons immers tegen experimenten op mensen, en werkt omgekeerd aan de normale wetgeving: wij moeten niet aantonen dat wij gelijk hebben, maar de overheden moeten aantonen dat ze de Code gevolgd hebben. Dat zullen ze nooit kunnen bewijzen!!!


Hieronder de argumenten dat u kan gebruiken:



De Code van Neurenberg, in hoofdzaak maar niet alleen ,werd door de scholen massaal overtreden sidns het begin van het schooljaar; vooral, maar niet uitsluitend, artikel 1:

“1. De vrijwillige toestemming van de proefpersoon is absoluut noodzakelijk. Dit betekent dat de betrokken persoon wettelijk bevoegd moet zijn, om toestemming te geven; zou zo gesitueerd moeten zijn dat hij in staat is, zijn of haar vrije keuze te maken zonder tussenkomst van enig element van geweld, fraude, bedrog, pressie, misleiding of enige andere verborgen vorm van beperking of dwang; en moet voldoende kennis en begrip hebben van het betreffende onderwerp, zodat hij of zij in staat is een onderbouwde keuze te maken. Dit laatste vereist dat voordat de proefpersoon zijn of haar keuze kan bevestigen, duidelijk gemaakt moeten worden: de aard, duur en doel van het experiment, de methode en middelen waarmee het uitgevoerd wordt, alle redelijkerwijs te verwachten ongemakken en risico’s en de gevolgen voor de gezondheid van de persoon die mogelijk deel zal nemen aan het experiment. De plicht en de verantwoordelijkheid voor het vaststellen van de kwaliteit van de toestemming ligt bij de persoon die het experiment initieert, aanstuurt of er aan deelneemt. Dit is een persoonlijke plicht en verantwoordelijkheid die niet ongestraft aan een ander overgedragen kan worden…”

(Trials of War Criminals before the Nuremberg Military Tribunals under Control Council Law No. 10, Vol. 2, pp. 181-182. Washington, D.C.: U.S. Government Printing Office, 1949)

 

Inderdaad:

 

  • Wij hebben als ouders nooit toestemming gegeven voor deze experimenten met onze kinderen;
  • Dwang (dus ook de boetes) is uitdrukkelijk verboden, dus isolatie, uitsluiting enzovoorts zijn in strijd met de Code;
  • De risico’s van het dragen van maskers, van asociale afstanden en van handengels zijn alom bekend in de wetenschappelijke literatuur maar zijn ons nooit meegedeeld geweest;
  • De opsteller van de circulaire is de enige verantwoordelijke persoon en moet dus uitdrukkelijk met naam en adres bekend worden gemaakt!

 

 

Emails :

 

  • CLB’s: meldpunten voor ‘pesten op school’


https://data-onderwijs.vlaanderen.be/onderwijsaanbod/lijst.aspx?hz=1&hs=clb



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